Agnus Volubilis II (Remastered Wed, Feb 16. 22)

 


I-Black Hawk of mein Herz




  


Mon coeur d’Or brûle 

Tel soulevé par un poème de Catulle

Je suis fou de joie

Certes quelque chose en moi reste froid

Ma Dulcinae O Dulcinae mon suicide

Était une odieuse envie de parricide

Tu me manques et je t’adore

Je t’adore comme un soupirant déchu contemplant de

très proche la Mort




II- Nous sommes la première race aryenne,la

vraie,l’authentique est à venir




III- Le voile noirâtre de la Dépression recèle des

joyaux inestimables et des pierres divinement

précieuses




IV- Prière à l’Autel de L’ Astral


Dieux bizarroïdes de la Projection Astrale

Ne tolérez-vous pas mon outillage bestial

Devrais-je de tout me déposséder

Et de mon humanité altière céder ?


Répondez divines créatures de mon espoir

Puisque je fus libéré des oiseaux du Sombre Soir

Aidez-moi à vous y rejoindre

Et que la lumière en moi puisse poindre


Noblesses,Aristocraties,Plèbes

Doivent pouvoir voir

Comme se fit voir à ses premiers borborygmes la

logoi-que Philèbe

Vous Magiciens de L’Au- Delà êtes des miroirs 


Où l’âme en félicité est libre

Et que le corps lui soit mort ivre


V- Parfum enivrant de tes cheveux et de ta cuisse en

feu,grisez-moi à l’infini,avec une essence 

Divine soulevez-moi sur un pi soulevez-moi sur un

piédestal et faites en moi le Potentiel Divin éclater

de mille feux




VI- Aurora Borealis


Have I seen thy cascade of Light yet ?

And beautiful gazes of Sun and lunatic Heresy

I will soon –Soon Will I be thy Contemplator—Stay

Still for me


VII- Ode à la Semence


Branle moi jusqu’à la Semence

Que cette dernière rejoigne la Monstrueuse onde

Et que dans tes mains sa précieuse matière fonde

Ah,Belle Éphébesse vois-tu comme il s’élance

Foutre diabolique/Semence divine

Jung/Freud-Dostoievski/Tolstoi 

                  Yin/Yang 





1-Toile


Me voilerais-tu de sombres vérités?

Enfouies dans tes plus secrètes velléités?

Je t'ausculte et y vois apparaître les lumineux Hiers

M'éblouissant hébété d'une brûlante lumière


La douce odeur du Passé me montre au Cerveau

Tel un chargé et sapide vin mousseux 

Je me souviens du rempli d'avant

Et L'hier impétueusement se saisit du Crasseux

Audjourd'hui



Rêves-tu toujours à moi Talentueuse Créatrice

Plastique?

A quel point envers moi ton cœur est-il élastique?

Suis-je toujours en ton esprit matière palpable?

Occupé-je encore en ton âme cette étrange lueur de

Fable?


Si Oui que les Dieux soient loués

La Terre affligée de maints prospères souhaits

Si Non eh bien que l'air qu'en ce moment je respire

Te parvient rempli,plein,électrique,ébranlé de toutes

sortes d'étranges saphirs




A quoi bon se perdre dans des rêves de chair

Ils obnubilent l'esprit sain d'illusions mortifères

Tandis que les douleurs sont parfumées de douce

aigreur

Personne ne peut y goûter sans y faire erreur

Elles sont là,présentes,indéformables telle

l'anté-forme


La Nature ne les a faites que d'allures difformes

Qui par leurs attraits de rareté semblent friser une

incertaine beauté

Mais quel meilleur remède contre l'illusion que les

ardeurs par la douleur sautées


Quel plus pur et serein poison que le nectar de

l'injection algogène

Dis!L'ennui est impossible dans l'épicentre de la

sacro-sainte Douleur



2-Le matin se lève en moi  blême

Ma cervelle dilatée d'images phsposorescentes

Est illuminée par un ardent photophore

Ou-est-ce le soleil qui  mes contours épouse

Aussi violemment d'une étreinte de soumise Épouse


Regain de conscience---Jet de lumière imprimé sur mon

endolorie rétine

Mon cerveau encore engouri d'un élan incertain

toujours badine

Comment pourrais-je assouvir cette vorace famine

Qui d'Alpha à Oméga s'étire mesquine


Prendre un crayon un stylo--n'importe

Tracer les sentiers sinueux d'un rêve étrange

Y mettre de l'ordre-Utiliser la cohérence que la

Logique Onirique apporte

Élucider la mystérieuse question depuis fort longtemps

me dérange


Ranger mon être

Faire honneur aux chus ancêtres

Dans l'abysse scabreux de La mort

Transformer alchimiquement l'acier du songe en

Somptueux Or


Qu'est-ce que nos vies?

Sinon les crachats d'un Dieu Avachi

Qui toussote depuis la Nuit des temps ses poumons

Dans un odieux spasme de douleur incalmable

Embrasant de ces étincelles rougies la mèche flammable

De la Primitive Conscience nommée assez burlesquement

Fou-Mont




3-La masturbation(comme dilemme substitutif ou

égoïste)


La masturbation est une activité fondamentalement

égoïste et solitaire….car tout solitaire est quelque

part égoïste—ne voulant rien partager avec le

monde.Mais ce qui semble le plus corrosif sur cette

activité assez raffinée dans son invention et sa

déviance d’un ordre sexuel   établi est le dilemme

qu’elle souligne de façon irrémédiablement

paradoxale…Le Je se masturbe-t-il pour combler un

manque qui ne lui est pas accessible et que le feu

mordant du désir ne fait qu’enflammer plus et la seule

manière qui se pose comme alternative à une telle

corrosion est la libération masturbatoire ou plutôt

est-ce d’un dégoût total,d’une démotivation,d’un

pessimisme encrassant qu’origine cette activité,en

d’autres mots,n’ayant aucune envie de se perdre en

concessions ineptes par rapport à l’Autre,ses trop

nombreux et déplaisants caprices,le Je trouve une

façon de s’auto-satisfaire dans une relation qui est

objectivement fusionnelle et

accidentelle(accidens-comme ce qui arrive).


Dans le premier cas,le Je est désireux d’un autre

être,un autre Je qui puisse consentir à ses

aspirations copulatoires,il est avide de l’étreindre

et donc atteignant un seuil si abominal de pénurie

libidinale,la Conscience remplie et fumant de rèves

luxurieux et voluptueux,il s’empoigne de sa zone la

plus «objectivement »érogène,la secoue,lui attribue

une cadence harmoniquement rythmique,la modulation

varie selon ses désirs,en Crescendos de pure

information nerveuse exquise ou en Decrescendo de

grande rétention pour faire perdurer l’exquis le plus

longtemps possible.La douceur masturbatoire et les

influx nerveux qu’elle génère coïncide d’un pas

synchrone avec les différentes substances

chimico-visuelles qui pétaradent allègrement dans

l’Écran mental…Les deux étant des mouvements

inséparables pour atteindre un état d’idéal de

plaisir/désir se dilatant dans une longueur temporelle

objective ressentie et expérimentée différemment «

subjectivement ».Musicalement on pourrait dire que le

rythme physique auquel cette spécifique cadence

masturbatoire s’apparente est un Allegreto,allegreto

vivace dans l’extase ou encore dans la montée

insidieuse d’un accomplissement micro-cosmique promis,la

lenteur de la cadence s’apparenterait à un moderato

cantabile….ou un doucereux adagio con

espressione.L'Extase venue»,l’individu s’adonnant il

y a peu aux joies de la pollution à l'esprit

joyeux,replet et gai,regrettant ces beaux instants qui

jusqu’à présent l’élevèrent dans une sourde

voluptuosité mielleuse et ont imbibé son esprit de

leurs versatiles parfums.Il est satisafait et

consciemment et inconsciemment il re-désire,cer

quelque part souhaite re-trouver au plus vite le

transport que lui conféra l’acte

masturbatoire.Celui-ci est le «masturbateur

conventionnel»



Tandis que dans le deuxième cas,l’individu ne fait pas

de la masturbation un ersatz d’un agrégat de chair

désiré et vainement convoité mais bien au contraire

semble être «le masturbateur iconoclaste»,celui qui

dans sa praxis,contredit l’essence même de la

praxis.Ce masturbateur est l’électron autour du noyau

qui emprunte des cursus indéfinissables,ni

approximables par la théorie la plus probabiliste.Dans

ce cas-ci celui qui se masturbe,se révolte,s’érige en

force oppositionnelle par rapport au principe sur

lequel repose l’idée essentielle même de la

masturbation-masturbateur révolté-il cherche le

plaisir dans le vague,dans le difforme,ne voulant se

souiller aux vaines idioties qu’implique l’acte

consommatoire de la copulation.La masturbation est une

façon pour lui de se détacher du monde,tout en voulant

sombrement assouvir ses flux libidinaux.Les images qui

embraseront sa pensée lors de son transport

physiologico-exutoire sont à l’inverse de celles

utilisées par le premier masturbateur très

floues,elles ne sont aucunement liées à la

concrétude,en quelque sorte sont même purifiées de

tout pesanteur concrète.Dans cette démarche qui semble

être une anti-nature du plaisir,le sujet est

fondamentalement désabusé,socialement détaché ou

plutôt statique…mais malgré ce répit et cette volonté

de non-socialisation s’adonne à une activité qui si

n’est pas foncièrement sociale,l’est partiellement.Il

veut boire une eau qui se doit d’être filtrée avant

d’être consommée-or il veut faire abstraction de ce 

processus de filtrage(ici social).L’acte copulatoire

l’irrite car en quelque sorte il implique des codes

sociaux précis et spécifiques fussent-ils

inconscients(les positions,les rythmes à

adopter,l’entente ou la brouille qui en résulte,la

symbiose charnelle,etc).Son rythme éventuellement

mesurable sur une quelconque échelle musicale serait

un Prestissimo giusto dans la mesure où chez lui il ne

s’attarde pas sur l’exquis de l’activité et le

potentiel plaisir qui pourrait en émaner mais sur sa

fatalité physique et existentielle,sinon

presqu’hygiènique,une façon un peu anarchique de

libérer quelque chose qui à l’origine n’est pas fait

pour l’intérieur(Après tout l'hygiène     n’est-elle

pas dans ce qui sort que dans ce qui

reste-supposément-à l’intérieur ?)



La Couche endolorie



J'ignore si je suis fait de flamboyants aurores

Mais suis-je certain d'une chose

C'est que mon âme endolorie d'arthrose

De bons et plaisants moments ne se remémore 


La Vie me fut tendre et douce

Que quand je ne palissais de frousse

Et lorsque telle une berceuse 

La beauté à moi venait merveilleuse


Me mirer et je me sens atroce

A souhaiter que ma mort soit plus véloce

Je serais immolé dans un bain de flammes purificateur

Qui vif  m'avalera et me canonisera en symbole

Edificateur





Je suis un être faramineusement incandescent

Un authentique amplificateur de la sensibilité divine

Pétrir la matière, l’Ajiva dans le creux de ma paume

Irradier cette dernière de Beauté exquise

Tel Un mathématicien sondant la structure des atomes

dans L’ Univers

Est  Chose Commune où l’Ordinaire et

l’Extra-INORDINAIRE deviennent d’indissociables

Artères

Répliquer à la somptueuse,onctueuse et poisseuse

réalité


Devient automatisme dés-automatisé

Ithaquique procédé pour son feu attiser

Trône Vindicatif où se meurt Persée


ENGLOBANT LE SERPENT COSMIQUE

TROUANT LE PROGRAMME CYCLOTHYMIQUE DE LA MATRICE

UNIVERS 


Athéna plane dans mon ciel souveraine

Lesbos se lie au ciel d’un odieusement beau hymen

Origène pleure sur les divines graines  

Riant aussi afin que celles-ci soient vaccinées contre

la distordante peine

Sisyphe se délivre dans l’immense abysse qu’est L’

Éternité de l’immonde poids lithique 


La Vraie liberté effraye 

Des spasmes en moi occasionnent

Des tensions en mon .âme créent

L’ Immortalité d’un coup naît  



II—Ganymède et Alpha Centaure

       Conversant dans un langage fort

       Se jettent l’un sur l’autre de l’Or

       Fiers et humbles comme les  Morts

       Connaissant enfin le Divin Sort 

       Que leur réserve le Mortifère Aurore

        Élevant les âmes chues et re-chues     

        

        Vers  l’infini

        S’affessant dans l’échine de Dieu

        Qui parait pour L’homme Vieux

        Et pour le Surhomme trop pieux 

        En sa Création externe

        Ayant son origine dans l’infini Interne

        Dieu peut-il être ému 


      Par les sombres agitations terrestres

      Pour lui le terrestre devrait être synonyme de

pédestre

      0000000000000000000000000000000000000000000

      S’en soucier l’emmurerait dans une de ces

impuissances qui la volonté entière séquestre


 III -La Sensation Ontologique


 La sensation que l’on éprouve à l’égard d’une chose 

Serait plus importante que la Chose en elle-même

Ce que la chose engendre sur et en nous primerait

Sur la Chose et donc l’existence de la chose en

question ne serait qu’un prétexte pour nôtre

sensibilité et notre raison de sentir----toute chose

en soi serait foncièrement futile mais utile du fait

qu’elle nous fait sentir et par le même fait être car

sentir c’est déployer la force intrinsèque à

l’authentique donnée ontologique de notre

identité-----le plaisir,la souffrance la peine ou la

joie,l’exaltation ou la tristesse ne nous définirait

pas certes mais serait des catalyseurs aussi divers

qu’hétéroclites pour mener au mystérieux Néant de

non-être que supposément nous devrions

être……….Atteindre l’authenticité de l'Être être au

plus profond de son être serait ipso facto s’annuler

dans le non-être….telle une corde que l’on étire

jusqu’à la rupture finale……..l’être qui s’accomplit

réellement serait l’être qui déciderait paradoxalement

de se désarticuler de l’être pour être plus dans le

non-être…….Confusion y aura-t-il peut-être dans cette

notion abstraite d’être et de non-être……mais

simplifions supposons que le degré acceptable d’être

serait la Conscience directe et simplissime d’être et

le degré où se mêlent tumultueusement et

harmonieusement les forces tendues de l’être et du

Non-être sont ce que la Conscience appréhendant son

potentiel antithétique-ment annihilatoire

et agrégatoire à la fois appelle Dieu-----La force

régulatrice de l’Univers qui unifie les choses dites

in-unifiables----qui chaotiserait le Chaos et donc

l’ordonnerait………..Du Chaos est supposément né

l’Ordre……….le Chaos aurait-il enfanté l’Ordre comme

Dieu aurait créé l’Homme,si cela est le cas Le Chaos

serait une structure infiniment plus complexe que

L’ordre que l’on arrive à assimiler par les voies

physiques et sensorielles…..l’harmonie ordonnée serait

une harmonie élémentaire comparativement à l’harmonie

chaotique…..Ce que la Conscience Humaine affublé du

nom de chaos serait une force si gigantesque à

soutenir pour sa perception si limitée que butant sur

l’incompréhension ayant voulu la disséquer son

lamentable scalpel se distordit à son contact



IV- Avide Chronophage

Mon esprit est lourd et pesant - confusion et chaos y

règnent----tout m’agace au plus haut point---je pense

à Cioran à Dick à Schopenhauer à Kierkegaard en

pensant à ma pensée qui ne pense

rien----L’impensé-----est pour moi dorénavant chose

atteignable terra cognita ---les maintes et multiples

circonvolutions auxquelles s’adonnent mon esprit

malade sont des fossés sans fonds. M’éradiquer

serait-il la plus judicieuse manière de retrouver un

peu de calme,finalement la sérénité perdue ?Peut-être

mais n’ayant déjà pas la force nécessaire pour tenir «

comme il se doit une cigarette » comment pourrais-je

même y songer .............Mon cœur est noué,ma vision

brouillée,ma finesse inexistante-------mon espoir

mutilé-----Ce perpétuel flot d’idées (si on put les

nommer telles---tellement sont elles fugaces et

ersatz-iques)creuses me met dans un tel état de branle

que j’aimerais parfois atomiser le peu de pensée et de

logique qu’il me reste



V-Comment commencer ?Eh bien le monde qui m’entoure

étant essentiellement chaotique,ma conscience semblant

n’avoir aucun début ni aucune fin----je me lancerai

vaille que vaille dans la narration d’un sentiment

indiciblement obscur------Un jour me promenant dans le

jardin  de la Grande ville,ayant terminé ma lecture

d’un traité sur Le Néant de l’Ontologie,en marchant

dans la nuit dense et compacte,je fus soudainement

pris d’un vertige----un vertige étrange et

épouvantable mais très paradoxalement qui me charmait

par sa lourdeur en même temps qu’il m’inspirait dégoût

et répulsion----Ce gigantesque brouillard apparut dans

ma conscience avec une fulgurance si lancinante que je

dus m’asseoir un moment sur un des bancs à proximité

pour mettre de l’ordre dans mes pensées-effort

d’ailleurs qui ne rima à rien et qui bien au contraire

encrassa plus le flot idéatoire qu’autre

chose-j’allumai une cigarette et la tirant quelques

instants plus tard un semblant de paix me

revint------je contemplais le monde m’entourant avec

de nouveaux yeux,les belles lumières jaunâtres

qu’arboraient fièrement les lampadaires semblaient

distordues par je ne sais quoi---le frou-frou de la

fontaine crachant son débit aqueux,me semblait

terriblement factice et tout cela s’accompagnait d’une

insoutenable théâtralité---d’une fraude….Le Brouillard

se dilatait en moi---fulgurant et

insidieux-----sabotant avec irrespect le peu de

‘lucidité’qu’il me restait----je me sentais drainé de

mon énergie---Puis au milieu de cette confusion aussi

bien inexplicable qu’inexpliquée j’eus une

hallucination…Où ne l’était-ce pas ?je ne saurai

clairement définir les critères de ce phénomène

sensoriel étrange,mais au milieu de cette atmosphère

terriblement glauque,je vis les arbres se tordre en

des postures immondes,se remplissant de vie et

accumulant autour d’eux un condensé  d’énergie


Hébété par ce spectacle,des vers sortirent de mon

crâne


L’aurore dans nos âmes crie

Dieu sur sa création odieusement prie

Les Êtres Silencieux les meilleures parties trient

Voyons ce que les devins et les Pythies en disent


Des Sauterelles pensant attaquèrent La Mort

A son évanescent et putride Port

Bizarrement je me sens fort



VI- L'éphèbe pendant plusieurs jours se mit à la

recherche de cette créature féérique

Qu'il entr'aperçut entre les touffus méandres de

l'épaisse forêt

Il marchait,haletant,étouffant,les pas

s'enfonçant,l'âme submergée de regrets

Songeant au doux bonheur qu'il aurait connu en

s'accaparant de la liberté de ce phénomène lyrique


Mais dans son regret,il s'attrapait à se plaire dans

un douloureux désir

Qui à chaque pas se transformait en pur et sublime

plaisir

"Que de peines sa beauté irréelle et ses charmes

légers ont-ils ensemençé en moi

Telle l'Orgie nous purge d'impuretés croupissantes et

nous procure un dyonisiaque émoi

Son allure traînant en son déploiement merveilleux ne

possédait rien de terrestre

Et comme une douce liqueur faisant effet après

quelques gorgées nous fait voir le fantôme de

Clytemnestre" 


Après ce chant de résignation,un aigle survolant la

vallée,ayant entendu ce chant délicieux

Suite à maints détours et acrobaties ouvrit ses ailes

afin de descendre de ses prouesses aériennes

L'Éphèbe le vit s'approcher,l'oeil rigolard et

plaisant,regagner les engluantes contrées terriennes 

"Que tu dois être irrité de regagner cette lassante

terre

Je te croyais depuis toujours une propriété des Cieux

Mais dis Cher Être ailé n'aurais-tu pas vu mon artère

Cette chose qui depuis peu m'est le bien le plus

précieux?"


Et celui-ci,ayant attentivement tout écouté fit

briller dans son oeil moqueur une incandescente lueur

"Quel beau chant as-tu fredonné tout à l'heure

Pourrais-je malencontreusement te demander qui en est

l'auteur

Et sais qu'en ces régions dangereux sont les animaux

Et Que sombres sont tous ses différents niveaux

N'oublie jamais de te vêtir de ta pulsion de survie ou

même de tueur

Car en ce moment si désespéré tu es et si hagard ton

visage paraît

Heureusement que t'es tombé sur un bon heur car je ne

porte en moi rien de mauvais"


"Mais par un damné hasard n'aurais pas ma belle vue?

Depuis qu'elle et ses charmes se sont éclipsés

Je ne cesse de trouver en moi un malheur reclus

Et une des ces violences abjectes mais ô combien

plaisantes 

Se faisant de plus en plus pressantes de plus en plus

accablantes

Qu'on eut crû que dans le sein de la plus immonde

cruauté elles furent aiguisées


"Sais-tu que son parfum grise

Et que la vision de son être apaise l'âme la plus

méprise

Heureux se retrouve-t-on après l'avoir croisé

Même les branches tordues par un ardent vent

Fouettées par un orageux et pluvieux Temps

Redressent leurs tiges précédemment froissées


"Dés que je la vis je sus que mon coeur désormais

battait pour elle

Il se vit farci de plusieurs voluptés diverses telles

de dansantes hirondelles

Dans un Ciel pur et bleu semble frôler la solaire

chandelle

Confondant un esprit géométrique dans des hésitations

face au terne réel....."


"Calme ton naissante ardeur

J'y fus un jour emballé par une pareille lourdeur

Et que penses-tu que fut le final résultat

Ce sentiment que tu étales avec ferveur

Me propulsa malsainement dans un piteux état

Je vis cet aveuglant soleil dans le Ciel s'éteindre

Et les braises de la passion piteusement feindre

Oh que ces états de pure Volupté me semble loins

Mais que de bonheur à savoir que désormais rien à

l'horizon de mes sentiments ne point

Le Bonheur se trouve dans la mesure,la stabilité et

une certaine tenue

Oublie cette femme qui t'a dans de profondes

confusions perdu

Et Retiens la leçon que je vins à te faire

Car elle est la plus précieuse et la seule qui vaille

la peine d'être apprise

Mémorisée,méditée,digérée,ruminée et comprise

Je te dis de redescendre de ton songe et de regagner

la gluante terre"


"Bah---Ignoble être ailé,par tes propos tu sembles

vouloir me décevoir

Et mes naissants élans tu les veux voir choir

Je te croyais vers le Divin tourné

Mais voilà que de ma quête tu veux me détourner"





VI- La douleur ne peut qu’être cathartique que si

l’individu la provoque intentionnellement en vue de se

purifier

-Se purifier de quoi ?

-Se purifier d’un moi trop pesant,d’un mensonge que

l’on porte en soi en permanence,des personnages

immondes que l’on incarne quotidiennement afin d’être

‘‘correct’’ envers nos semblables tout en étant

incorrect avec soi-même,se purifier des faux rires et

sourires que l’on eut à esquisser de force,ces choses

remplies d’un artificiel et d’une facticité

atroces.Enfin ,rentrer en interaction avec soi-même,la

catharsis est un moyen de dépoussiérer son vrai

moi,l’affirmer sans se laisser être influencé par les

commentaires volubiles de nos semblables,ne plus

prendre en compte leur présence et surpasser les

contingences de la morne vie quotidienne.Et à travers

la douleur,fut-elle d’abord bien canalisée,on peut

atteindre un certain niveau de lucidité,tout au moins

la lucidité requise pour s’apercevoir de la précarité

de tout ce qui nous entoure.

-Mais…..est-ce que la catharsis peut être faite par

mégarde,non-intentionnellement,toujours à travers la

douleur

-Selon moi,toute catharsis authentique est

préméditée,c’est le principe même de la catharsis,on

veut se purifier,et dans le vouloir,il y a une fin,un

dessein,donc une pré-réflexion sur le procédé que l’on

utilisera pour atteindre son but.


En affirmant,cette dernière chose,il se sentit mal à

l’aise,faux envers lui-même.La Théorie semblait

charmante et minutieusement élaborée certes cette

toute dernière affirmation  contredisait la sensation

de pureté qu’il éprouva quelques jours plutôt en

faisant le discours d’insoumission.Cette affirmation

théorique ne collait pas avec son émotion et cette

rupture entre la logique et l’émotif lui causait de la

peine.Il cherchait à tout prix une façon de 

concilier ces deux mécanismes diamétralement

opposés.Puis,comme jaillie des tréfonds de son âme,une

idée réconfortante vint lui simplifier la

problématique qui l'accusait,cette idée lui fit de ne

pas s’en faire,que tout le monde sait pertinemment

bien  que l’émotion et la logique ne se mélangent

point,elles sont comme l’huile et l’eau,essayer de

trouver un terrain d’entente entre elles est

inéluctablement voué à l’échec d’avance.A cette

pensée,le tumulte intérieur de Uheria  se fit moins

chaotique,il se résigna à ne plus chercher plus

loin,reconnaissant qu’une aussi sage pensée lui fut

venue au moment propice l’épauler.S’aventurer dans les

lointains déserts de la pensée devenait de plus en

plus dangereux, plus on s’y enfoncait,plus on

favorisait l’entrée de l’inopiné dans notre champ

d’appréhension,un inopiné tel que la folie.Oui la

macabre rencontre avec cette dangereuse enchanteresse

!Il sentait qu’elle approchait ou était-ce lui qui

s’approchait pas à pas sans le savoir vers son 

somptueux royaume.Sa seule certitude était qu’il la

sentait,la sentait de loin,la sentait menacé son

idios kosmos,son champ personnel,sa raison !



Article # 

Le plus on avance dans les marécageux espaces de

l’existence,le plus l’on est pris de cette  a amère

désillusion qui semble nous inculquer infatigablement

et inexorablement que nous sommes seuls dans tous nos

prises de décision,nos actes,nos ébullitions

intérieures,nos inclinaisons,nos folies.Et ce

sentiment d’immense et d’indicible solitude,se faisant

de jour en jour de plus en plus envahissant,de plus en

plus belliqueux a pour but d’éroder nos stériles

illusions sur les valeurs collectives,la communication

entre l’individu et sa communauté.Comme si l’on

chuchotait au creux de nos oreilles ‘‘N’attends pas à

être arrosé par ce jardinier que vous appelez

naïvement Aide,il ne viendra pas au moment

voulu,puises ta force dans le sol et ne sois jamais

surpris par son ostentatoire négligence,si par

pitié,il t’apporte des forces,accepte-les avec

reconnaissance mais n’oublie pas que ces moments se

feront fort rares et que la grande partie du temps,tu

devras fleurir par toi-même ’’Telle est la continuelle

cacophonie que l’on entend être répétée telle une

dissonante litanie divine chaque fois que l’on a le

courage de se perdre et d’espérer;aspirer à de

meilleurs lendemains,des lendemains moins ternes mais

hélas,cette enquiquineuse ne nous laisse pas trop

languir dans le mirage,une fois,l’espérance pointant

en nous,elle se manifeste et avec une irritante

froideur continue:‘‘Que tu fusses seul au monde ou que

tu fus entouré par d’autres de ton espèce que cela

change t-il à ta pitoyable condition,la seule chose

pouvant être d’une aide et de quelle aide,serait

l’illusion de croire à l’entraide mutuelle,au secours

que pourrait t’apporter les autres.Tu dois te

débarrasser de toutes ces sottes illusions et

considérer cette effrayante possibilité que tu es seul

sur cette terre --- Seul es-tu venu dans ce monde,seul

repartiras-tu !’’

Cette voix nous frappe de son timbre sinistre nos

tympans rêveurs et son discours nous est déplaisant

mais d’un autre côté peut-être est-ce elle qui a

vraiment raison et nous trop sourds pour percevoir la

vérité acide de sa parole







Ma Nouvelle Muse Révolutionnaire

Ton soleil est d'acier et de plomb

Que chantent au loin les violons

Ma Divine Stratosphère




Le Matin est froid

Mais que dire de moi

Que de vous je suis désormais épris et que je respecte

volontiers vos engagements-----David est Un Archange

noir qui vit en vous une laiteuse et riche

muse.........Nymphette de la 

Noire gloire et de la ah Odieusement compliquée

Littérature de L'Âme-----ce document suivant devra

sceller notre amitié amour au delà des murs de

l'éternité;c'est ma chair faite poésie que je

vous dédie-----je crois être amoureux de vous---votre

limpide façon d'être m'a ravit au plus haut point

jusqu'à ce que mon âme apparemment tombe peu à peu

amoureuse de vous----Votre Chapeau m'a montré votre

dandysme,le pétard  fut une exquise ivresse qui

justement si immensément exquise à passer avec vous

que mes fibres nerveuses toujours en

tremblent-------Je vous remercie infiniment pour ce

moment NMR De non cranium----Chakras se démultipliant

à L'infini venez embraser la diabolique caboche de MA

GRANDE AMIE NÉMÉSIS-----Le Voyage de l'Âme est la

seule

solution aux névralgies cérébrales














    (A Florie-Anne Galy)


On était grandement embrasés parfois---

Ne trouves-tu pas?

Même dans le funeste trépas

Passion demeura notre foi"



Était-ce une ridicule ivresse


Qui si bêtement poussait à la tendresse


Feinte-voulue-exagérée par endroits


Le Chemin du désarroi est étroit"




   

Philosophical Cheese


Do you remember Leibniz?

I ate his philosophical cheese

It was indeed tasty

Whereas my sad belly to it was nasty

Nonetheless Science authentic

Is a turmoil frantic

Don't we all have sycophantic gods?

That stain the soul with ignominious muds?

Sei frölich

Leben ist köstlich

Adore Truth

Abhor Youth

Too simple a formula isn't it?

Did I mean that

Or is it something else that at my place meant it

Enjoying freedom is an art 

and maybe the most art difficult to exist

To its enthralling powers and scents could thou resist

?












 Chilvar of the Night


Prince of Artful Affright

The world can wait for us 

As we are riding our celestial horses

Humpty dumpty---lumpty----mumpty

Shakespeare,the desire Shaker

Makes our medullas oblongatas fume

Like hay or the pipes of Hume

And Satan the brilliant Truth Faker

Is he the soul Baker

Or the Mind Taker?

Both one must presume

When confronted constantly to the forces of Doom

A man ask'd to his companion Tamberlaine

Do you remember the girl of the name Jane?

Who did make my heart cry in pain

I've looked for her in the sky and on the earth in 

vain

In thunder,lightning or in rain

Nothing could thereon heal my heart slain


O my friend,Divine thane

Passion has devoured thy brain 

Look at what happened to jolly friend Kain

His Muse gone,he just trembles in agony and in chains


Love is a divine tool when greatly sharpened but when

the fire of forge sharpens it utterly like a poisonous

dagger it becomes an instrument of sordid deeds


Fair Lady ignoring me

Can but only hurt thee

From thou I desire no fee

But in our commerce to act free

And to thy door a precise and certain key







La sensation que l’on éprouve à l’égard d’une chose 

Serait plus importante que la Chose en elle-même

Ce que la chose engendre sur et en nous primerait

Sur la Chose et donc l’existence de la chose en

question ne serait qu’un prétexte pour nôtre

sensibilité et notre raison de sentir----toute chose

en soi serait foncièrement futile mais utile du fait

qu’elle nous fait sentir et par le même fait être car

sentir c’est déployer la force intrinsèque à

l’authentique donnée ontologique de notre

identité-----le plaisir,la souffrance la peine ou la

joie,l’exaltation ou la tristesse ne nous définirait

pas certes mais serait des catalyseurs aussi divers

qu’hétéroclites pour mener au mystérieux Néant de

non-être que supposément nous devrions

être……….Atteindre l’authenticité de l'Être-----être au

plus profond de son être serait ipso facto s’annuler

dans le non-être….telle une corde que l’on étire

jusqu’à la rupture finale……l’être qui s’accomplit

réellement serait l’être qui déciderait paradoxalement

de se désarticuler de l’être pour être plus dans le

non-être…….Confusion y aura-t-il peut-être dans cette

notion abstraite d’être et de non-être……mais

simplifions---supposons que le degré acceptable d’être

serait la Conscience directe et simplissime d’être et

le degré où se mêlent tumultueusement et

harmonieusement les forces tendues de l’être et du

Non-être sont ce que la Conscience appréhendant son

potentiel antithétique-ment annihilatoire

et agrégatoire à la fois appelle Dieu-----La force

régulatrice de l’Univers qui unifie les choses dites

in-unifiables----qui chaotiserait le Chaos et donc

l’ordonnerait………..Du Chaos est supposément né

l’Ordre……….le Chaos aurait-il enfanté l’Ordre comme

Dieu aurait créé l’Homme,si cela est le cas Le Chaos

serait une structure infiniment plus complexe que

L’ordre que l’on arrive à assimiler par les voies

physiques et sensorielles…..l’harmonie ordonnée serait

une harmonie élémentaire comparativement à l’harmonie

chaotique…..Ce que la Conscience Humaine affublé du

nom de chaos serait une force si gigantesque à

soutenir pour sa perception si limitée que butant sur

l’incompréhension ayant voulu la disséquer son

lamentable scalpel se distordit à son contact






    Sensibilité d’enfer ou l’Anarchie idéalisée

  

Tous les participants de La Nouvelle Anarchie étaient

réunis autour de leur leader.Celui ci se trouvait au

milieu de la structure circulaire qu’ils avaient

formée autour de lui,rayonnait autour de sa personne

une aura se dilatant comme embrasée d’une violente

expansion thermique.Son visage dardait d’ardents

rayons invisibles à l’œil nu mais clairement

perceptibles aux visages qui d’une lueur ébahie et

presqu’extatique,le sondaient en sorte que l’on

pouvait facilement imaginer que la trajectoire de

leurs regards étaient maints rayons divers reliant le

centre O d’un cercle bien défini.Étant donné que ce

centre était animé d’une rage savante,vibrante

,faisant frémir toutes les cordes de son instrument

circulaire. Son visage était empourpré d’une chaleur

songeuse,presque versatile…..La chaleur que répandait

sa personne s’infiltrait dans toute la structure

réceptive…..Et la position qu’il tenait au milieu de

ce cercle faisait étrangement penser à un rite

sacré.Tout le monde présent dans le décor le fixait

hypnotisé ,n’ayant jamais sûrement vu un tel

déploiement d’énergie et de foi dans un projet qui

même pour les esprits les plus enflammés paraissait de

la pure démence…..On attendait impatiemment les mots

qui sortiraient du Théoricien…Ils ne tardèrent pas à

se manifester…..Accroupi,se tenant la tête lourde

d’idées difficiles à contenir ,et ébouriffée d’une

belle crinière broussailleuse, visiblement légèrement

dégrisé de son précédent délire sémi-prophétique ,

semi- apocalyptique, lentement il se leva et en

scrutant au fond de chaque figure dit posément : «

Chers Confrères,le temps tant attendu est venu—après

plus de deux millénaires de pure spéculation

théorique,nous osons entreprendre le dur labeur qu’est

d’appliquer  et de mettre en œuvre la théorie. La

lueur d’un nouveau monde scintille déjà des ses

premiers rayons timides et blêmes ,si pour le moment

vous les trouvez faibles et insignifiants, ne vous en

faites pas ils ne tarderont pas à se faire plus

ardents.Regardez le soleil fumeux suspendu dans les

airs qui agrée avec notre entreprise……Oui des cendres

de L’ancien Monde naîtra le monde,le nôtre,celui de la

Liberté absolue,la liberté sans Dieu,car quelles plus

fétides idées l’ancienne structure a-t-elle caché sous

ce nom qui semble porter tous les espoirs d’une

humanité misérable priant littéralement les Cieux pour

avoir sa misérable faveur……Qu’avons-nous désormais

appris après une longue et rigoureuse application à la

Supplique Céleste sinon qu’elle ne nous répond jamais

en retour.Toutes les idées véhiculées par l’ancienne

res stultia s’abîment en ce jour..en ce jour de

révélation.On brûlera jusqu’au cendres de nos âmes

momifiées par le passé.Oubliez le Passé,mes

frères,votre vie prend son véritable essor ce

soir,quand tout point qui incarne L’autorité et Le

sacro-saint Ordre seront rasés,réduits en

particules poussiéreuses,lorsque la Déesse

Désuétude revendiquera ses biens et nous débarrassera

de ces Obstructeurs de la Vie.Quand tous les

gouvernements auront explosé et toutes les polices

dans d’atroces spasmes et diverses contractions

sporadiques auront implosé,l’homme enfermé depuis sa

conception dans toute sorte de systèmes à abêtir

marchera sur la surface terrestre,libre frais,aussi

léger que la plume dorlotée au son doucereux du

vent,Sa conscience éclatera d’une nouvelle puissance

désormais à jamais inasservissable,bravant toute la

structure qu’il nomme par manque de sensibilité

adéquate Réalité,discernant aux plus enfouis confins

du Cosmos ses théorèmes les plus alambiqués,dans sa

perception le temps ne sera plus,pas moins l’espace

qui dès lors ne sera que le miroir de son éveil,un

long éveil à une vie qu’il a appris à connaître.Quand

ces boîtes de fer que vous voyez seront abattues et

que par là-même la Nature se rappropriera ses biens

depuis fort longtemps subtilisés,la lumière de la

vérité nous aveuglera mais nous nous apprendrons à

nous y accoutumer.Les Binocles métaphysiques noirs que

l’on portait jusqu’à présent ne nous seront de plus

aucune utilité.Nos rétines fragiles à son contact de

prime abord brûleront de douleur et de regrets,se

contractant pour nous préserver de l’incoercible

véracité…mais mes amis c’est à ce prix de nous brûler

au feu de la chandelle,cet inévitable Pretium Doloris

que l’on doit abandonner nos anciennes habitudes ayant

pré-formatées en nous jusqu’au moindre crépitement de

notre âme….Notre système immunitaire et défensif à La

Vérité doit être également éradiqué de nos mièvres et

par trop confortables et ô combien réconfortants

automatismes…..L’âme endolorie mais renforcée,nous

irons vers la mutation et si Dieu il y a,il nous

craignera  car nous serons des créatures ayant élucidé

le mystère auparavant insondable de l’Univers.Qu’il

nous envoie ses troupes d’Archanges,aussitôt qu’ils

apercevons nos lignées,de la  frousse la plus «

divine »ils rebrousseront chemin….Oui amis ce jour

vous appartient,si la démence brave L’ordre,sa

cohérence et la bienséance,commençons à partir de cet

instant même à la mettre en marche,à devenir les

Pragmaticiens de L’Anarchie Spirituelle et

Spiritueuse,nous procéderons à l'anéantissement

mathématique de toute logique prédéfinie,c'est-à dire

à commencer par nous-même,créer la schize nécessaire

pour la régénérescence qui fera naître nous de nous

même,mutilant ainsi les parties gangrenées en

nous…..Sur ces notes quelque peu cacophoniques,mes

confrères,épuisons le champ du Possible……. »





           Liturgia Sardonica


In my  soul strange terror and visions of tremendous

wrath

The world on its destroyed piedestal hail

To the anarchia that's coming along the Cosmos 

Light gushing out rays of inextinguible dunamos

Directly into the visceral pain centered frail

Is this what we call Catharsis ex holograph

My forces are fading away,escaping fragile

I see that redeeming a soul is art agile 



Anarchy to reach a certain beauty had necessarily had

to suffer----therefore do not take too seriously her

agony within thy school.......it is a necessary

process in order to attain sublimation----anarchia is

not a finality(actually nothing is and Nothing should

be)but a stage that can only give prolific things to

someone only  if one knows that he's a temporary

anarchist and not an eternal one and even if he were

to proclaim the sacro-saint eternity of his

anarchistic

works may he be aware that the fundamental rule of

anarchy is that anarchy is a mind blowing energy but

on a long term period it really blows the mind

entirely and if the mind is blown what tool could one

use to continue and complete the expression of his

being?


I'm quite flattered thoroughly by the express-ness of

thy replica------my day was quite horrifically

pleasant(again stuck with the perpetual notion of

paradoxes)---I Met Alexis who I was looking for since a

moment now,around the deserted streets of

Plainpalais,he was stoned as a Cone----smoking his

ganja cone.We spent the afternoon together and while

descending on a downhill with a board my body gaining

extreme and

voluptuous velocity almost hit two adolescent girls

and the whole scene finished itself with a big bang

me(or more specifically my body) meeting the

ground-----therefore I tasted the delightful and

awe-inspiring pain of velocity----I came to this

conclusion "TOO Much Velocity kills velocity"----My

cell phone entirely destroyed within the fraction of a

second of my spectacular fall----I was more than

thrilled to know that some people saw that bail (me in

a "vulnerable" position)and even more thrilled to know

that the persons i wanted them see the actual and

temporary annihilation of my being didn't see

it........Upon these words


Hab mut and awesome things

to the fair lady


Die Welt ist möglich




  






L'odeur qui me parvient est mielleuse

L'Univers m'est d'une lumière hideuse

Le réel d'une clarté inhumaine

Que l'existence en ces périodes me semble hautaine


Douleur infusant mollement dans les tréfonds de mon

âme effarée

Gémiras-tu tout la nuit?

Jusqu'au seuil du prochain minuit?

Que les vifs faisceaux lumineux viennent te soulager

de ce sentier égaré


Mon piédestal existentiel est frêle

Mes états d'âmes sont des plus grêles





Dans un ciel maussade et austère

Un oeil torve nous épie avec ardeur 

Nous saute avec une amitié qui leurre

Sa présence ne nous inspire pas un orgueil vert 


Toisant avec son odieux sourire

Palpant notre intimité avec irrévérence

Tournoyant son globe oculaire sans distance

Nous sommes résignés à une existence de cire









L’Existence est un axe spatio-temporel autour duquel

s’agrègent,se tissent de violentes circonvolutions tel

un arbre autour duquel de sauvages et tenaces

lignasses s’accrochent.

Dans cette sinuosité étrange le moi s’efforce

vainement à tenailler l’arbre,par moments 

Essaie une symbiose ou encore tellement happé par

l’axe qu’il ressent le besoin de s’y 

Détacher afin de ne pas se perdre de vue,d’affirmer

son ego,de ne pas s’effacer,

de démarquer son Idios Kosmos,une sotte tentative

d’être ou tout au moins de paraître

indélébile,mais nous savons tous que rien de nous ne

reste ici bas,tout s’envole tels les

restes d’une dépouille incinérée au vent,telle une

délicieuse poésie,tout rejoint le lointain 

abîme de l’Oubli.






La loi même de l’existence est fondée

sur la précarité et de l’aspect transitoire des choses

qui nous entourent.Tout bouge et tout doit bouger car

la vie qui est 

synonyme de perpétuelle périgrénation,est dans le

mouvement comme l’aurait dit Aristote

mais ce qui est intéressant est que deviendrait le moi

sans l’Arbre de la Vie,de L’Existence ?






Pourrait-il subsister sans le repère avec lequel il

pouvait s’allier en faisant preuve d’humilité ou en

moments de montée narcissique,en accès d’égotisme il

pouvait faire étalage de son touffu et superflu

plumage tel un paon?Si l’Arbre s’avérait un jour

déraciné par un quelconque incident,un orage,une

tempête ou un impétueux et dévastateur séisme que

deviendrait il? Livrer à lui même et ses propres

moyens?Périrait il aussi tel son protecteur et Mécène

de longue date ?Certainement




I'm Thy Official Soothsayer

To you giving a blessing and a Divine Prayer

As easy as one-two-three

I liberate thy soul

From the Fiendish Foul

And Cleanse Internal Spree

Until your most secret phantasms

Blow up in dark and glowing orgasms


Entends-tu entonner derrière toi cette vibrante

harmonie?

Oserais-tu la renier par simple pulsion de restrictive

parcimonie?

Le silence est le langage des timides a-t-on dit

Mais est-ce le silence qui en nous bondit

Facilitant l'échange métaphysique entre nos corps

Ivres de tacites attouchements,effleurant la sombre

chimie d'or

Chimie dangereuse mais si doucereuse que le mortel

derrière s'y cache



The Opium Of Existence


What is the meaning of all this?

I can not recall the Kingdom of lost Bliss

When my deceitful memory freezes like ice

And do not properly respond to me like a shivering

vice





Is all this an aborted dream?

Is reality soft enough to let me open my occluded eyes

Eyes long ago closed to interior silence and tearful

cries

In dismay, I ask my sullen self "Is Life a tumbling

stream"?


Where could I find adequate relief?

Should I seek it in the sky or in the sea?

Or am I just according to great an importance to my

little me

Trapped here between Doubt and cosmic Loneliness i'm

devoured by futile grief


"Fair is foul and foul is fair"

But such truth today is so rare

And often such a hope illusory 

My Burden yet so light

Now my poor soul is filled with fright

'Tis a place inaccessible to joyful light 


My battle detains in its bosom no cadence

My Triumph weak  of grandeur no real eloquence

To think this what a singular pain

Could I hence watch in the mirror tomorrow

Without tremendous guilt nor disgraceful sorrow 

Or bear in my eyes signs towards myself of overt

disdain


Is this a revery pleasant or an alarming nightmare  

Both may be wandering indefinitely towards an unknown

somewhere

In my present state I can not perceive the notes of

Delicious Delight

In me trembles the triumphant march of a Pernicious

Fight 

All I could affirm as an epigraphic sentence 

Is that Pain and Despair are the Opium of Existence






























       "NOUS DECOMPLEXIFIONS LE REEL AFIN DE MIEUX LE

SAISIR"telle était la phrase gravée dans la mémoire

post onirico-préhensive de Horatio.Probablement un de

mes délires irréalisés prenant forme dans mon espace

hypnagogique se dit-il.Mais quelle belle phrase!Simple

d'apparence mais complexe à l'intérieur.

Elle pourrait lui servir de point de départ pour une

nouvelle création artistique de n'importe quelle

nature qu'elle soit........Mais pour le moment il

fallait se préparer à affronter le nouveau jour

naissant.Il sortit des  confins douillets de son

lit,avec la plus grande difficulté essaya d'ouvrir les

yeux,mais la trop puissante et aveuglante lumière du

jour aggressait ses membres oculaires.Il réussit à se

mettre en position assise sur le lit et resta immobile

comme cela pendant un bon moment.Jugeant avoir regagné

la totalité de ses esprits,il voulut se lever mais

trébucha contre la tasse de thé qu'il transporta avec

lui la veille avant de se coucher.Le liquide que

contenait sagement la tasse avant cette inopinée

intrusion dans sa quiétude se répandit,s'en

allant,grignotant l'espace que la surface du parterre

lui accordait."Merde"pesta Horatio s'apercevant du

désastre quelques fractions de secondes plus

tard,"elle commence sacrément bien cette journée"

continua-t-il en pensée.







Il descendit chercher une

serpillière pour essuyer la flaque venant de voir le

jour.En bas tout était sombre,plongé dans une obscurité

quasi-totale.Il alluma et exposa une nouvelle fois ses

yeux au supplice photonique.




Personne ne s'était donc

pas encore réveillé.....étrange!Il remonta et étendit

la serpilliére sur la superficie touchée.Une fois

débarrassé de ce problème il s'attaquerait à un autre

probléme:faire sa toilette.En se dirigeant vers les

toilettes,il vit son chat Onuros étendu devant la

porte,las,pensif,résigné presque fataliste, ses traits

étaient différents de ceux qu'il lui connaissaient,sur

sa figure naguère joyeuse,folâtre et pétillante on y

lisait désormais de la sérénité,une totale quiétude

l'enveloppait en laissant imaginer des rayons de

sagesse émanant de son être.



Ce spectacle auquel ne

s'attendait aucunement Horatio le déboussolé,"il ne

restait qu'une toge ocre et la position du lotus pour

qu'on t'eusse pris pour un lama tibétain"remarqua-t-il

en caressant la douce fourrure du chat.Etrangement,le

chat ne lui rendit pas sa caresse comme d'habitude,en

se blottissant contre lui.Cette-fois ci il parut

distant,absent et froid.Il se leva flegmatiquement et

descendit les marches des escaliers avec un pas sûr et

lent.Que se passait-t-il?Qu'était devenue l'humeur

espiègle de son cher Onuros,sa nature fallacieuse et

perfide mais tout du moins

sincère?Mystère............................




Dès son

réveil il avait pressenti quelque chose,une

présence,un ajout,une onde étrange.Cette onde frayant

un chemin dans son échine,parcourant tout son

être,sondant ses tréfonds les plus abyssaux.Quelque

chose ne collait pas au décor habituel...mais quoi?Il

ne saurait le dire.......même la maison quelques

moments plutôt neutre glissait peu à peu sous

l'emprise de "L'Onde Ajoutée".Il réalisa que son

esprit divaguait par delà les étendues que lui

laissaient entrevoir les fenêtres,il se décida donc

d'aller faire sa toilette.En pénétrant la salle,il vit

l'imposant dicton "Gnothi seauton"(Connais-toi toi même)

incrusté dans une belle gravure couleur or

rayonner.Chaque jour,depuis son installation,ce

précepte hellénique prenait de plus en plus

d'ampleur,de plus en plus de sens et d'indicible

quintessence,et après chaque réveil semblait pointer

du doigt le sujet auquel il s'adressait à regagner sa

vraie nature d'être,comme si une authentique

permutation avait eu lieu en lui lors de ce voyage

ensomeillé,un changement.




Il  prit sa brosse,la couvrit

d'une couche de pâte dentifrice,la porta à sa bouche

et commença à la promener dans tous les recoins de son

orifice buccal,elle avait un goût étrange,différent de

celui des autres jours........à ce moment même de

rêverie,il lui sembla qu'il avait entendu trois coups

brefs sur la porte de la douche.Il ouvrit,s'attendant

à voir un individu de taille humaine,il regarda droit

devant lui et ne vit personne,il regarda donc en bas

et vit son chat Onuros encore plus lumineux dans sa

prestance,toujours arborant ce même air pensif mais

cette fois-ci le chat semblait plus préoccupé,plus

aspiré dans sa réflexion."Oh c'est toi ?"fit Horatio

d'une voix visiblement troublée"entre si c'est cela

que tu désires,d'ailleurs  tu n'as pas pris de douche

ça fait un bon bout de temps,on profitera pour la

faire en même temps,non?".Le Chat semblait totalement

absent et enfin de compte s'immisça dans la

douche."D'habitude il montre plus de réticence à

l'égard des douches que lui est-il advenu?en espace

d'une soirée'' souligna en pensée Horatio.Il alla vers

la baignoire couler le bain,une fois l'eau ayant

épousé la forme de la baignoire à moitié,il y mit les

produits nécessaires pour la

toilette:savon-déodorants-Shampooings,etc.Puis vint

Onuros qu'il prit délicatement du sol afin de

l'insérer dans le bain déja mousseux.Il fut surpris de

la non-résistance du félin,sa docilité et obédience

doctes.Jadis cela aurait été impossible,griffures et

égratignures auraient fait parti des inviolables

préliminaires du processus "sanitaire".





Le félin se

hissa  dans la baignoire,sonda  les chaudes

profondeurs du bain et essaya de trouver la position

qui convenait le mieux pour une installation optimale.

"Incroyable,incroyable ne cessait de se dire

Horatio,non seulement tu es devenu aussi imperturbable

et serein qu'un lama mais tu as su trouver de

l'hédonisme dans ce qui était ta phobie la plus

mortifère,que 

t'est-il arrivé mon chat ?''poursuivait t-il en

frottant le corps étale du chat visiblement ravi de 

cette initiative,fermant les yeux par intermittence en

signe de bien-être.Plus Horatio frottait son chat,plus

ce dernier semblait mieux se porter,ses prunelles

semblaient s'enflammer d'une intense lueur électrique

de satisfaction et par dessus-tout,"l'Onde

Ajoutée"semblait plus concrète,embrasant d'une

fulgurante emprise le réel.Il pouvait la

sentir,dure,brute,voltigeant dans les airs.Sa présence

était désormais manifeste,sans subreption

aucune.Etait-ce son chat l'émetteur de l'Onde?Ou

était-il lui aussi victime de cette étrange

présence.





Il sortit du placard qui se situait à

proximité de la fenêtre une serviette propre et

parfumée de délicieuses odeurs ,sécha le félin trempé

qui une fois sec,le gratifia d'un lascif calin. 


"Ce n'était pas tôt", proféra Horatio. Le chat de sa

langue humidifia ses moustaches afin de les

lisser,touché par ce attendrissant spectacle,il prit

le félin dans ses bras,l'accabla de maintes caresses

puis le regarda droit dans les yeux.La fulminante



lueur électrique de tout à l'heure s'était grandement

intensifiée,les prunelles se trouvaient

dilatées.......puis d'un coup presqueirréel il sembla

être pendant une fraction de seconde en totale

osmose, faire.



Un avec la Conscience du chat.Décidément

les choses allaient de mal en pis,pendant un moment il

crut perdre la raison.L'Onde,la présence

non-identifiée,l'Ajout étaient bien réels en fin de

compte.






D'ailleurs pendant cette fraction de symbiose

d'ontologico-cognition,il eut l' impression d'être

extirpé de force de ce que l'on nomme le réel,sa

conscience dilatée jusqu'à son extrême

flexibilité,englobant tout,percevant toutes les

nuances de l'existant,s'appropriant tous les

mécanismes de l'être...........et cette lumière....oui

cette assourdissante lumière,étant cacophonie et

mélodie,ordre lumineux et désordre acoustique en même

temps,fustigeant chaque parcelle de son conscient prêt

à se débloquer d'un violent jet -- puis enfin le

retour à l'état de conscience initial,cette descente

teintée d'étranges couleurs  se mouvant en étranges

sinuosités,la recollection méthodique du champ

conscient-d'abord le supra conscient,

l'infra-conscient puis l'entassement et la remise en

place par blocs successifs du réel,la réalité se

recompose par fragments,retour à la vie

quotidienne....................puis un mal de tête

terrible,une douleur à vouloir vous faire ouvrir la

boite crânienne contre un mur........Si tant de choses

en si peu de temps,avait-il halluciné,c'était

probable,c'était forcément cela,c'était sûrement

cela,sinon quoi d'autre?




Toute cette journée était un

immonde simulacre.....de bout en bout.







Il laissa tomber

le  félin qui retrouva son équilibre aussitôt

atterri.Ce Voyage    a-temporel devait avoir quelque

chose avec Onuros et cette grisante électricité

jaillissant de ses yeux.Il était figé sur place au

beau milieu de la pièce essayant de rassembler par

associations d'idées,tournures inductives et

déductives ce qu'il avait vécu jusque là,depuis son

réveil,lui trouver un sens,une logique mais ses

efforts s'avérèrent vains et infructueux.





Mais la

preuve qu'il avait quand même "voyagé",résidait dans

ce message obscur tournoyant inlassablement entre les

quatres murs de sa pensée,pris au volet lors de sa 

re-descente ou de son ascension,il ne savait plus:

                                                      

                                 

                                                      

                                Le Soleil de la Vérité

s'est levé

                                                      

                                Et le Voile de

l'Illusion déchiré    

                                                      

         Des odieux tourments que t'ont infigé

certaines questions

                                                      

                         La Seule et Vraie Cognition

te libérera

                                                      

              Véritable fardeau que l'entêtement de

l'Ignition 

                                                      

   

   Une fois porté,bien et méticuleusement doit-il être

gardé                                                 

             


  Et empêcher doit-on les yeux volubiles et indiscrets

voulant le regarder

                  

 Car sans sans ses éternelles et agaçantes précautions

notre frêle âme errera




  







> Chloé,divine enchanteresse

> Qui parfois mes ardeurs presse

> Le Sort nous a ensemble réunit

> Dans cette rencontre inouïe

> BELLE COMME LE JOUR

> TOUS TES POURTOURS  

> JAUNISSENT DE JOIE ET DE LASCIVITÉ 

> Lactescente

> Que mon oeil ne dusse périr encore

> Devant le temple de vos yeux l'immaculé or 

> Cette balade marquée par le hasard n'est pas si

> aléatoire que cela


> Je vous embrasse Chloettine







Elle se rua,lui prit le bras et lui chuchotta des

douces paroles au creux de l’oreille.Puis petit à

petit sa figure remplit son champ de vision,deux

paires d’yeux verts dardaient en lui un regard aussi

violent qu’il aurait cru qu’on lui sondait des

impuretés dans l’âme.Le regard se faisait de plus en

plus ardent,la flamme verdâtre illuminant  les yeux de

Cordélia telle une chandelle galvanisée d’un produit

dangereusement inflammable.Son souffle était

saccadé,et sa figure ne faisait que

s’approcher,s’approcher telle une vraie

fatalité:aucune échappatoire n’était possible,Uheria

devait se plier une fois derechef à la volonté

sensuelle et enflammée de la provocante Déesse aux

yeux verts.



Le Musc de la déesse se faisait de plus en

plus proche,des senteurs divines s’y émanaient,une

sorte de parfum mélangeant ingénieusement

Caramel et menthe.Les fines molécules d’odeurs

s’engouffraient lentement dans ses narines

irritées:c’était un délicieux feu d’artifice

olfactif.Il se serait cru aux lointains confins d’un

Paradis immaculé.La douce chaleur du musc parfumé

l’enivrait de joie et de béatitude.Il saisit à son

tour le fin cou de la déesse rayonnante d’une beauté

éclatante et se décida enfin à s’adonner à ce

chaleureux moment d’osmose amoureuse.Les bouches se

cherchaient,avides de vite trouver leur âme sœur et

les langues gonflées de désir voulaient s’unir

éternellement.Le baiser parut éternel,une lente

vibration fit frémir les deux corps entrelacés dans

une union quasi-sacrée.




Dans ce parc enchanté, où tout

paraissait resplendir d’une nouvelle couleur, une

couleur vive et aveuglante d’amour et de paix,où les

oiseaux chantaient une symphonie majestueuse et encore

plus magique par ce fait d’improvisation à l’unisson

rendait toute cette expérience irréelle,rêvée et

phantasmatique.





Elle était proche d’une expérience

transcendantale,il naviguait sur l’éternité et n’avait

aucunement l’intention d’y descendre mais la

transcendance a ses lois,il fallait s’extirper de

cette miette magique d’éternité et redescendre à la

dure et atroce réalité et dont ses plus fidèles

agents:la pesanteur et un effondrement lent mais sûr

du monde dont uniquement la tête était

perceptible,uniquement la pointe de l’Iceberg se

faisait visible mais d’ici peu une partie plus

importante de sa démesure ferait surface,ça pouvait se

sentir.Ce moment d’évasion furtive n’était que

temporaire et ne pouvait durer éternellement,il le

savait bien mais il l’aurait souhaité.Il l’aurait

souhaité que ce moment de bref répit puisse être

éternel.Que son passé,sa vie,son moi,son identité

entière ne soit qu’un lointain souvenir……






Qu’il aurait

tellement aimé se fondre st s’être confondu avec le

Flot épuratif de l’Éternité.Des flots remplis d’amour

et de gratitude le traversaient lorsqu’il rouvrit les

yeux pour découvrir le visage de sa puissante Déesse

des vibrations de bien être parcouraient son échine de

haut en bas,elle aussi rouvrit les yeux une fraction

de seconde plus tard,ils se dévisagérent

intrigués,intrigués par ce moment partagé tout

simplement inénarrable.





Elle était encore plus

belle,plus éclatante que la Colère Divine,ses cheveux

un peu en désordre comme ébouriffés par une vague onde

magnétique lui donnait vraiment une allure divine,son

visage rayonnait de pureté,il s’empressa se

l’enlacer,de l’enlacer à l’étouffer,elle fit de

même,le message était clair et sans ambiguïté

aucune:elle avait remporté la partie,et son triomphe

était on ne peut plus somptueux.




Elle était sa Déesse

et elle lui avait ouvert les portes de L’Éternité,il

lui devait tout au moins sa reconnaissance.Il

chuchotta donc quelque d’assez inaudible toujours

enlacé par sa Déesse se finissant en un borborygme de «

erci ».Il s’était recouvert d’un épais manteau de

sérénité,oui,il était serein là dans les bras de

Cordélia,Sa Déesse aux yeux d’un verdâtre hypnotique. 








                       Les femmes et leur malfaisance



                               .Les femmes sont des

créatures qui attristent et qui infligent des douleurs

indélébiles.Elles paraissent dépourvues d’immondices

et propres,platoniques et salubres……..

Quel beau simulacre!Elles ensorcellent avec leur doux

parfum,leur grâce légère et ce maniérisme

indicible,jusqu’à ce qu’elles vous emportent dans les

hauteurs extatiques de l’onirisme.Elles donnent une

nouvelle allure à l’existence,une infime lueur

d’espoir pour vous la retirer impitoyablement,elles

agrègent pour éradiquer.On se demande ce qu’elles

intentent faire en fin de compte,que veulent elles au

juste,Veulent elles tout simplement s’accaparer de la

modestie d’honnêtes hommes ?????Si cela est le cas

quel machiavélisme !Enflammer pour enfin

éteindre,bâtir pour enfin faire écrouler,ingurgiter

pour enfin dégurgiter,étreindre pour enfin

rejeter.Quelle cohérence y a t-il dans toute cette

agitation futile ?Et au dessus de tout ce désordre

infâme, elles EXIGENT qu’on ne les mésestime pas,qu’on

ne les méprend pas,pour conclure qu’on ne soit

phallocrate à leurs égards.Elles s’offusquent quand on




leur rabat à l’oreille qu'elles représentent les

instrumentum diabolicum  de l’homme.






Que voulez

Vous que je dise,attendiez vous que je vous encense le

dos en préconisant votre majesté et votre sagesse

infinies.Non seules les personnes dignes ont le

privilège d’arborer ces titres.Vous êtes

perfides,visqueuses,souillées et incroyablement

loquaces.Votre postérieur est la maison d'accueil et

votre cœur est la maison d’expulsion.Au-delà de cette

frénésie grotesque,y-a-t-il en vous quoi que ce soit

demeurant pur ?J’en doute fort.Vos pensées doivent

être aussi rouillées que votre sincérité.Si elles

avaient quelque attrait odoriférant,elles seraient

probablement nauséabondes.













La Couche endolorie

J'ignore si je suis fait de flamboyants aurores

Mais suis-je certain d'une chose

C'est que mon âme endolorie d'arthrose

De bons et plaisants moments ne se remémore 


La Vie me fut tendre et douce

Que quand je ne palissais de frousse

Et lorsque telle une berceuse 

La beauté à moi venait merveilleuse


Me mirer et je me sens atroce


A souhaiter que ma mort soit plus véloce

Je serais immolé dans un bain de flammes purificateur

Qui vif  m'avalera et me canonisera en symbole

édificateur



Rien---m'adonner à une débauche fumigène

Désespérément cherchant le métaphysique oxygène


II)Désabusé à L’infini l’Homme se prend pour un

rejeton de Dieu

Qui aurait malencontreusement invectivé les cieux

Ach Qu’il est difficile d’être en ce bas monde pieux

Je m’immolerai ayant atteint l’âge vieux

Contemplant l’ineptia humanitas

Je pus discerner maints théorèmes abscons

Dont l’un était si gauche qu’il prit en considération

le chameau pour un thon

L’éternel est le somnifère délétère que nous

ingurgitons pour penser nos douleurs métaphysiques 

Et une fois calmées la débauche nous embrase les

exutoires physiques 

Qui avait déjà dit que l’on pouvait cracher de mille

et une façons

Que cela fut par la bouche ou les méandres purulents

d’un caleçon

Avons-nous de ce monde appris nôtre leçon

A l’Horizon flamboyant d’un rouge pourpre le soleil

doucereusement décline

Sur la Méta-Urbano- Humaine Particule qui s’échine

Dans le tohubohuesque Chaos où Nymphes et Minotaures

se déhanchent lascivement 

L’Histoire éradiquée et refaite à nos souhaits nous

attendons passivement

Que Le Super Neutron de Technétium se dissout dans

L'Atmosphère en fission avec de l’Uranium et des

neutrons

Afin d’engendrer une réaction en chaîne avec un début

chronométré et chronométrable mais avec une fin

impossiblement tangible à L’œil demi cyborgien de

L’Homme Homme de L’espace Homme du Néant archange

déchu se refaisant une renommée au paradis






What....You do not start something without achieving

it---- it's a sin.........added to that the Victorious

strategist only starts the Battle after Victory has

been truly conquered



Que de choses avions nous partagées

Que de beautés somptueuses avons-nous explorées

La nuit du Bonheur nous n'avions pas suffisamment

imploré

Les étoiles vigilantes nous toisèrent pleines de leurs

mortifères dragées


Et te rappelles-tu nos espérances----déçues

Nos chastetés sentimentales embrasées

Ces Sirupeux jours où toute ignominie était rasée

Où les anges d'une antique et faramineuse beauté à nos

pieds étaient chus



Et leurs regards hagards remplis d'infecte envie

Puisque défendus de toucher aux fruits de la Vibration

Cette Vibration endiablée qui nous secouait telle

une divine Stratification

Nos empressements de chairs étaient cois mais d'âme ô

combien remplis d'Incandescente Vie




Entends-tu entonner derrière toi cette vibrante

harmonie?

Oserais-tu la renier par simple pulsion de restrictive

parcimonie?







Le silence est le langage des timides a-t-on dit

Mais est-ce le silence qui en nous bondit

Facilitant l'échange métaphysique entre nos corps

Ivres de tacites attouchements,effleurant la sombre

chimie d'or

Chimie dangereuse mais si doucereuse que le mortel

derrière s'y cache





Douleur Suprême et superbement exquise quand

m'accrocheras-tu de ta puissante attache




Le chaos est la condition de toute conscience

Unique même pour son authentique déploiement

Ersatz dérisoire de chaos l’Ordre dans ses

intempestifs aboiements

Hurle d’éreintement et de peine,ne sachant égaler son

confrère dans sa science

Rumine tout sa rancœur,comprenant que tout ordre est

éloignement

(Et que tout désordre même dérangeant à l’œil n’est

qu’alliance)







Donc je me repose

Sur les douces roses

De L'arth-rose

Ingurgitant maint glucose 

Afin de créer en moi une cause

Qui deviendra inévitable odieuse phtose


Un jeu rigolo m'étant venu comme ça ex nihilo



Quel est ce doucereux vent

Qui chuchote cet onéreux Chant




Call me mad

But to do this I had

My jolly folly has no limits 

And is only limited by God's digits


when I was walking suddenly booooooom-----the

deflagration exploding within the abysses of my

cranium aroused thoroughly-----simple but perfect such

as the idea of the universe


Lovely Thee,sincerely thine

I see on thy shrine

The holy altar

Coming afar

See you

Li-Yu










I-L’ambiance décadente des nénuphars cosmiques



Marchant dans les sillons de L’anesthésie

Apportant à la déesse de L’hérésie

Hiéroglyphes sacrés et nacrés

Allant à elle dans des nappes échancrées

Ne pouvant plus de joie sauter

Triste je me vis mon casque ôté

Au Soleil qui m’avait de ma foi et de ma voie doté


Ulysse nagea jusqu’à Ithaque

Brahms créa un chant de Pâques

Iphigénie sacrifiée

Que désormais crucifier ?

Uranus dans les cieux brille

Et sa dulcinée au loin scintille


Électre avec Oreste en Osmose

Se joignent dans la Cosmique Cause

Traçant le réel et sa directe antinomie l’overdose






II—Ganymède et Alpha Centaure

       Conversant dans un langage fort

       Se jettent l’un sur l’autre de l’Or

       Fiers et humbles comme les  Morts

       Connaissant enfin le Divin Sort 

       Que leur réserve le Mortifère Aurore

        Élevant les âmes chues et re-chues     

        

        Vers  l’infini

        S'affaissant dans l’échine de Dieu

        Qui paraît pour L’homme Vieux

        Et pour le Surhomme trop pieux 

        En sa Création externe

        Ayant son origine dans l’infini Interne

        Dieu peut-il être ému 


      Par les sombres agitations terrestres

      Pour lui le terrestre devrait être synonyme de

pédestre

      0000000000000000000000000000000000000000000

      S’en soucier l’emmurerait dans une de ces

impuissances qui la volonté entière séquestre




III-Dresde est Pédestre 

Illusion du père meurtri d’osmoses et d’arthroses

délétères

Torah imaginée par le Dieu des éléphants crachant des

vers

Histoire s’irisant d’inhistoricité

Ypsys sorti de son veuvage alité

Ran Dieu du chaos vociféra pendant une éternité

Allongeant à ses côtés une estrange déité

Moribonde d’agonie divine

Balbutiant des paroles sibyllines

Elle se meut en direction de la Monstrueuse colline

Sirotant un nectar bizarre


Dépassant les configurations physico-neuroniques de

l’entendement

Imposant à son âme fatiguée repos et calme

Vibrer au vent telle une palme

Impossiblement possible tel veut être son fondement

Nycto-andre Fantasmagorique

Sisyphe lui doit son obédience art de la Rhétorique 


*



















AGNUS VOLUBILIS 16TH ANNIVESARY’S Acknowledgements:


Beyond all else : 


 Infinite Intelligence + Love + Wisdom + Benevolence + Grace + Presence + POWER



Ladies:



Lady Laetitia

Lady Lou. L.

Lady Ingrid. H. T

Lady Annaelle. M

Lady Andrea. C. H

Lady Anna S. Kwon

Lady Nyobe A.


Lady Jasmine Soori Arachi

Lady Nadia

Lady Ursula

Lady Ayo

Lady Monha

Lady Meriem

Lady KYEMMA

Lady Liat

Lady Tia

Lady Mary M.S

Lady Laia Ixena M.

Lady Elsie

Lady Irene

Lady Monique K.

Lady Marie K. 

Lady Daya Rajya.

Lady Jenny

Lady Armelle Sidonie , RIP

MIRACLE Ladies

*


Great Ladies


Emily Dickinson

Amélie Nothomb

Marie NDiaye

Alice Walker

Toni Morrison

Octavia Butler 

Margaret Mead


*

Lady Seraphine Adeou

Lady Emily Dickinson

Lady Virginia Woolf

Lady Hannah Arendt

Lady Annie Besant 

Lady HPB

Lady Anais Nin

Lady Sylvia Plath


*

Dewi Sri.

Sarawati

Athena Nike

Erato

Terpsichore

Aphrodite

Hypathia

Tridevi/ Trideva

Lady Tippawan T


*

Gents:


Gentleman Diego V.

Gentleman Benjamin E.

Gentleman Rajah S

Gentleman Alexander Hephaestos  P.

Gentleman Nathan Efrati (in memoriam sacrata)

Gentleman Balaz’s T

Gentleman Alexander E.

Gentleman Enoch. A

Gentleman Silas L.

Gentleman Didier T

MIRACLE gents


*

Synergic Group Gents

Elders (Forsyth, Dalton, Chartrand, 

Braithwaite, Pearson, Carlson, 

Depew, Westin,& co)

Mehdi Belhaj Kacem

Robin Sharma 


The Ubermensch

Lord Buddha & Siddhartha

Lord Christ & Yeshua

Lord Narayana

Zarathustra

Maurice G Dantec

PKD

Friederich Wilhem Nietzsche 

Charles Baudelaire

Soren Kierkegaard

Blaise Pascal

Descartes

Edgar Allan Poe

Khalil Gibran

Prophets, past, present , future









Influences:


Philosophy(The Stoics, the Hedonists, the TRUE & STRONG WILLED)

Science fiction

Upanishad, vedantas, Rgvedas, Bhagavad Gita, Mahbarata,, Krishna, Ganesh , Mahalakshmi

Maat

Djehiti

Ausar-Auset- Heru

The Holy Bible

The Prophets of the Old & New testament

The Prophets of the Atomic age

The Prophets of the Numerical age

Avesta

CHRIST

Apostle Paul

Watchma Nee

Lord Buddha

Dharma & the eighfold path 

Self & Higher self

Gnosticism (Cathars, bogomiles, etc)

Rumi 

Khayyam

Kabir

KYEMMA


*

Remerciements :

16e anniversaire d'Agnus Volubilis




Au-delà de tout le reste :


Infinie Intelligence + AMOUR + Sagesse + Bienveillance + Grace + Présence + Puissance



Dames :



Dame Laetitia

Lady Lou.L.

Dame Ingrid

Dame Annaelle

Dame Andréa

Lady Anna S.Kwon


Dame Jasmine SOORI ARACHI

Dame Nadia

Dame Ursule

Dame Ayo

Dame Monha

Dame Meriem

Dame Kyemmé

Dame Liat

Dame tia

Dame Elsie

Dame Irène

Madame Monique K.

Dame Marie K.

Dame Daya Rajyah.

Dame Jenny

Dame Armelle Sidonie, RIP

Dames miracles

*

Amélie Nothomb

Marie Ndiaye

Alice Marcheur

Toni Morisson

Octavia Butler

Margaret Mead


*

Dame Séraphine Adéou

Dame Emily Dickinson

Lady Virginia Woolf

Dame Hannah Arendt

Madame Annie Besant

Dame HPB

Dame Anaïs Nin

Dame Sylvia Plame


*

DEWI SRI.

Sarawati

Athéna Nike

Érato

Tersichore

Aphrodite

Hypathie

Tridivié Trideva


*

Messieurs :


Monsieur Diego V.

Monsieur Benjamin E.

Monsieur Rajah S.G.

Gntleman Alexander Hephaestos P.

Gentleman Nathan Efrati (à Memoriam Sacrata)

Gentleman Balazs T.

Monsieur Alexandre E.

Monsieur Énoch. UNE

Monsieur Silas L.

Messieurs Miracle

*

Messieurs Groupe synergique

Ainés (Forsyth, Dalton, Chartrand,

BRAITHWAITE, Pearson, Carlson,

DEPEW, WESTIN, & CO)

Mehdi Belhaj Kacem

Robin Sharma

*

Le Übermensch

Seigneur Bouddha et Siddhartha

Seigneur Christ & Yeshoua

Seigneur Narayana

Maurice G Dantec

Philip K Dick

Friederich Wilhem Nietzsche

Charles Baudelaire

Soren Kierkegaard

Blaise Pascal

Descartes

Edgar Allan Poe


Influences :


Philosophie (les stoïques, les hédonistes, le vrai et fort volonté)

Science fiction

Upanishad, Vedantas, Rgvedas, Bhagavad Gita, Mahbarata ,, Krishna, Ganesh, Mahalakshmi

Maât

Djehiti

Ausar-Auset-Heru

La Sainte Bible

Les prophètes de l'ancien et du Nouveau Testament

Les prophètes de l'âge atomique

Les prophètes de l'âge numérique

Avesta

CHRIST

Apôtre Paul

Watchman Nee

Seigneur Bouddha

Dharma et le chemin octuple

Soi-même

Gnosticisme (cathares, bogomiles, etc.)

Roumi

Khayam

Kabir

Kyemma


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